Comté de Boursicot

Le comté de Boursicot représente la seule percée durable que le Royaume d’Aurélius a pu faire dans le Royaume de l’Est lors de la guerre de 767. Néanmoins, ce n’est pas une mince victoire en soi, puisque le comté de Boursicot est situé sur les voies commerciales reliant le sud et nord du Royaume de l’Est. Jadis, Boursicot était un endroit florissant de l’Alliance de Solèce, mais la région souffrit beaucoup de son annexion par Dagoth. Négligée pendant plus d’une décennie, son déclin se fit au profit de Solèce, la capitale de Dagoth. N’ayant pas de routes menant directement à Solèce, le comté de Boursicot a dû s’organiser en baronnies fortes pour prospérer.

Description

Dirigeant

L’ancien comte, Faragon Noirfenouille, est gardé prisonnier depuis la conquête de l’Aurélius. La comtesse actuelle est Victoire Chateauvieu, noble d’origine auréloise nominée par la Reine pour ses bons et loyaux services.

Description complète des baronnies du comté de Boursicot

Depuis sa prise par Aurélius, les baronnies de Boursicot ont toutes été divisées en secteurs. Cette division se base sur une logique militaire et défensive. Les secteurs n'ont pas de statut politique ou administratifs particulier. Tous les éléments décrits ci-bas se retrouvent sur la carte de Boursicot qui se retrouve à l'endroit suivant. Pour les retrouver facilement, utilisez leur numéro.

Baronnie de Pistaguer (no 138)

Secteur Pistaguer

Pistaguer

L’ancienne métropole de l’Alliance de Solèce fut l’une des premières cités de l’Alliance à tomber sous l’emprise de Dagoth. Puisqu’aucun affrontement majeur n’eut lieu dans cette ville pendant la conquête du Roi, la vieille architecture de style impériale demeure relativement intacte même à ce jour. De vieilles familles aédonites tiennent encore leur manoir, davantage par respect pour leurs ancêtres que pour autre chose. Malgré tout, ces familles réussissent à tirer leur épingle du jeu et leurs grands moyens les rendent plutôt influentes dans la cité. Pendant l’occupation de la cité par les autorités démonistes, aucun investissement n’y a été fait, ce qui mena la ville à se détériorer petit à petit. La misère s’installa et une atmosphère de chaos se mit à régner dans les quartiers les plus vulnérables. Pistaguer connut une période de très grande criminalité et de corruption pendant les années qui la mirent en compétition avec Solèce; cet état de fait l’empêcha de fleurir de nouveau malgré une certaine effervescence économique liée aux routes commerciales. Pendant la guerre des Royaumes, Pistaguer fut disputée entre l’Aurélius et le Royaume de l’Est. Elle fut même assiégée par des hordes de morts-vivants. Après des batailles sanglantes au pied de ses murs, ce fut l’Aurélius qui remporta la ville grâce à une aide non-négligeable de ses résidents. En récompense à la combativité des habitants de Pistaguer, mais aussi à leur demande, la Couronne auréloise instaura dans la ville un conseil citoyen pour épauler la comtesse actuelle. La ville compte 11 000 habitants. Insolite : La dernière secte existante des priants des Faux-Prophètes est basée à Pistaguer, de manière clandestine.

Secteur Nord Est

Village portuaire de Riveril (1)

Ce beau village portuaire fut autrefois très paisible et prospère pour la population de Riveril. L'économie de ce village est basée sur la pêche du grand lac Riveril. AU tout début de la première guerre de Dagoth, les citoyens ont érigé des fortifications sous les ordres du capitaine Rodik et l'entrainement obligatoire était de mise. De ce fait même, ce sont les seuls qui ont résisté aux escarmouches de l'armée de Dagoth et sont devenus des vétérans. Devant leur bravoure, Après la tombé de Pistaguer, Dagoth serait venu lui-même les féliciter. Il aurait payé leur solde et demandé à son cuisiner personnel de leur préparer un grand banquet pour fêter la victoire de ceux qui ont survécu à leur nation. Le capitaine Rodik refusa bien évidemment de se joindre à la fête et tenta même d'attaquer la grande armée ennemie entourant son village. Le lendemain, Dagoth et son armée quittèrent les lieux. La guerre était terminée et personne ne vint demander au capitaine et ses troupes de plier le genoux. Depuis ce temps, Riveril reste épargné par les guerres en Boursicot ce qui permet à ses marchands d'assurer un lien commercial discret mais bien réel entre Pistaguer et la région de Grands-Moulins ou celle de Solèce.

Ruine du château de Falkirk (2)

Ce château était autrefois la place forte de la région mais fut aussi la première à tomber sous les catapultes et trébuchets de l'armée de Dagoth. Sa situation donnait un avantage sur la partie nord de la baronnie de Griveton, secteur Grands-Moulins et Pistaguer. Ce fut une grande bataille pour la capture de ce château mais un mal nécessaire pour les généraux de Dagoth pour ensuite prendre le reste du territoire. Originellement, le seigneur Renaud de la famille Falkirk possédait toute la partie nord du comté de Boursicot et avait la chance de commercer avec le comté de Francourt. De nos jour, le château est en ruine mais reste un endroit stratégique

Le lac Riveril

Le lac Riveril est très abondant en poisson et permet au population avoisinante de se nourrir. Il n'est pas rare de voir des petits combats sur le lac entre les gens du village de Riveril et du comté de Solèce.

Secteur nord Ouest

La ruine du fortin de Frosfort (3)

Ce fortin fut jadis (avant 720) construit par un chevalier fortuné au nom de Cormag McFros. De son passé on ne sait que peu de choses sinon qu'il est Khalonnien d'origine et qu'il a fuit son pays en emportant un jolie magot qu'il utilisa pour faire construire cette place forte. On apprit à la fin de sa vie que son vrai nom était Alcis Winnger McBrunnor. Outre son fortin, il légua à la région quelques bonnes recettes brassicoles et encouragea plusieurs particuliers à se lancer dans le domaine brassicole. Malheureusement, après sa mort personne ne s'est vraiment occupé du fortin qui subit les assauts du temps et des hommes. Bientôt les réparations sont devenus trop cher à assumer et il est laissé en ruine depuis. Malgré son état, c'est certainement le dernier endroit semi fortifier sur le chemin entre la citadelle d'Alenwirk et la ville de Pistaguer. Néanmoins, on peut voir les beaux plus champs de blé, malt et houblon de la région.

Hameau en ruine de Ceanas (4)

Ce petit hameau paisible de Caenas est réputé pour sa culture de pommes et de magnifiques vergers. Valentine Duverger est la marchande et propriétaire de ce domaine. Depuis la mort de son mari, elle a repris les affaires et on peut gouter à ses pommes partout dans le comté de Boursicot grâce à ses exportations. Encore aujourd'hui, on peut retrouver de ces pommes mais l'exportation n'est plus aussi fréquent parce que lors de la première guerre des gobelins et hommes-rats sont venus piller le verger et ses habitants. Il ne reste que les vergers à l'abandon et quelque personne pour en profiter.

village en ruine de Lullin (5)

Le village de Lullin est dirigé par une femme forte de caractère et une dresseuses hors pair, Violette Vaganey. On y retrouvait les meilleurs chevaux de traits de tous le comté et les habitants en étaient pas peu fier. Tellement qu'au gré des années ils n'ont gardé en culture que celles les plus aptes à mettre en valeur la grande force et la docilité de leurs bêtes. L'ère de la prospérité a pris fin dès le début de la guerre avec Aurélius. Les seigneurs locaux du royaume de Dagoth ont réquisitionné les chevaux bien domptés et après leur défaite, les Aurléois ont demandé les poulains pour regarnir les écuries militaires. Les villageois croyaient que ce serait leur plus grand malheur, jusqu'à ce qu'une nuit, une horde de morts-vivants ont attaqué sans prévenir et dévoré les deux tiers des habitants. Les survivants arrivèrent à se défendre en érigeant des murs de flammes ce qui brûla une bonne partie du village.

village en ruine de Colrocheux (6)

Le village de Colrocheux abrite principalement des ouvriers de la mine de calcaire à ciel ouvert qui donne sur la rivière Rascal. C'est ici que l'on retrouve le meilleur calcaire en terme de qualité. Le village a été créé en 767 par la famille de Amandine Rochefort, spéléologue et administratrice de la mine pour le comte des Chateauxvieux. Avec la reprise de la guerre en 769, les paysans et travailleurs se sont cachés dans la mine qui connait son lot de tunnels prospectifs. Les troupes démoniaques n'ont pas réussi à retrouver les citoyens mais ils ont détruit le village en cendre. Tout de même, il reste les fondations en pierre des maisons et certains disent que les gens sont toujours cachés dans la montagne attendant la nouvelle paix d'autrefois.

Secteur Sud est

village en ruine de Bradbourg (7)

Le village de Bradbourg est de bonne taille. Ç son apogée, il était considéré comme une périphérie branchée de Pistaguer. On pouvait y retrouver des magasins de toutes sortes, des forges, un laboratoire célèbre (Le coq-dinde), des tavernes et quelque grandes fermes. Lors de la grande conquète ce lieu à particulièrement gouté à la violence des troupes de Dagoth et tous les propriétaires furent expropriés. Malgré la piètre gestion des nouveaux propriétaires, la région est restée un lien de commerce et de productions diversifiée Vers la fin de l'occupation, forces de Dagoth ont tenté de militariser la région et ont commencé à y ériger des palissades en bois pour protéger un contingent militaire. Quand les troupes Auréloises nt traversé le fleuve, les travaux n'étaient pas achevé et le contingent a été rappelé à la capitale. Plutôt que de laisser la région à leur ennemi, les Dagotiens ont décidé de brûler l'endroit en partant pour ne pas laisser l'ennemi l'occuper et réduire les chances de conquêtes. Les villageois ont bien tenté de sauver leurs maisons mais ils n'ont pu que sauver le tiers du village.

Hameau en ruine de Londy (8)

Ce tout petit hameau était composé de gens simple dont l'existance était dédié à Usire et Gaea. vivant au gré du temps et ils ne s'attendaient pas à être les premières victimes des forces de Dagoth. Ils vivaient simplement des champs de céréales et du bois tout près. Aujourd'hui, il ne reste plus que quelque masure debout et le puits.

monastère de St-Philippe-de-Boissieu (9)

Ce site de pèlerinage est toujours de mise et les quelques moines restant continuent leur mission donnée par le père Philippe-de-Boissieu qui est de nourrir les pauvres et de guérir les malades. Malheureusement, lors de l'arrivé du capitaine Grossk'Dum la hache et de sa troupe de peau verte, il fut sauvagement tuer et exposé du haut du cloché du monastère. Mais toutefois, Philippe eu la chance durant le combat d'aveugler le capitaine et de part cette action héroïque, il fut sacré saint par le pape d'Altembourg. De nos jours, avec la libération de Boursicot par l'armée de l'Aurélius, il fut enterré dans un tombeau dans le monastère et béni au nom d'Usire.

Secteur sud ouest

Village de Bromwich (10)

Le village de Bromwich est celui où tous les voyageurs aiment s'arrêter parce que c'est à cet endroit que l'on peut trouver la légendaire taverne du Sanglier Saoul. Parfaitement localisé, près de la route du roi, le village bénéficie d'une multitude de petit commerce où l'on peut voir plein de marchandise. De plus, c'est l'une des meilleurs places où l'on fait pousser du raisin de vin et c'est le maire Henri Bourguignon qui en est le propriétaire. Il est certainement le meilleur tonnelier du comté de Boursicot et beaucoup aime sa cuvé des Milles Fleurs, un vin doux et fruité. Les habitants ont toujours eu le flair et réussi à se positionner rapidement pour les vainqueurs lors des guerres qui dévastèrent la région. En échange de pots de vin au sens propre comme au figuré, ils ont réussi à se préserver tout comme la majeur parti de leurs vignobles. L'invasion de morts vivants leur a toutefois causé plus de problèmes mais les paysans ont malgré tout réussi à reprendre le dessus. S'il y a maintenant moins de passants et de clients dans les tavernes, les caves à vin sont elles est très bien protégés d'éventuelle escarmouche.

La tour de Colrac (11)

La fameuse tour du magicien, Colrac Zefaris, est tombée en deux après la première vague de l'armée des Dagotiens qui l'ont légué à un nécromant notoire répondant au nom de Vieille-Mort. Sous la gouverne de ce maniaque tous les habitants du hameau adjacent ont été exécutés pour des expériences démoniaques. Vieille-Mort perdit la vie lors de l'attaque conjointe des troupes Auréloises et d'un chapitre de roses noires venues spécialement d'Altembourg pour le mettre à mort. Autrefois c'était un lieu de connaissance et de pèlerinage pour les magicien des régions avoisinantes. De plus, on dit qu'il contiendrait une partie de puissance du défunt mage et un trésor que Vieille-Mort aurait tenté désespérément de s'approprier jusqu'à la fin de sa vie. Beaucoup on péri en essayant de chercher son trésor et les gens encore résident essaient de protéger les restes du domaine.

Le village en ruine de Tyllicaster (12)

Ce village tait dirigé par Théobald , un chevalier très croyant de la parole d'Usire. Les fortifications du manoir aida grandement à ralentir les troupes d'orcs du chef de guerre Karkas la tête brûlée. Les orcs de Karkas périrent les un après les autres sous les volées de flèches, alors il décida de brûlé le village en entier avec l'aide des prêtres de Toyash. On pu entendre les cris de souffrance et les corps en feu tomber des balcons. C'est avec héroïsme que Théobald fit la dernière sortie en tentant d'en amener le plus possible mais Karkas l'attendit de pied ferme et lui décocha une flèche directement au cœur. Il tomba avec une larme à l'œil mais sourit en regardant au ciel et dit : Le jour viendra où la lumière d'Usire éblouira Boursicot et je... Théobald mourut avant de pouvoir terminer sa phrase, une flèche traversant sa bouche et son crane. De nos jours, il ne reste que des ruines fumantes et les pierres encore debout du manoir.

Le marais Gris

Le marais gris est une place évité de tous et c'est une place maudit par les dieux. Certaines créatures sans échappe et causent du trouble aux alentour comme le domaine de Colrac et le village de Bradbourg. Une légende dit que jadis c'était un magnifique lac gardé par un être mythique mais la corruption aurait gagné le cœur de ce lac et est devenu un marais putride et mortel.

Baronnie de Suaïo (no 138)

L’attaque de Dagoth contre le Conclave Impérial marqua beaucoup le territoire de la région. Certains forts furent complètement abandonnés et redistribués à d’autres communautés. C’est en 754 que la dernière caravane arrivant de Shatai est entrée en Bélénos. La plupart des voyageurs, ne sachant pas trop où aller, demandèrent refuge au Roi. Dagoth leur légua donc un fort nouvellement conquis au sud du comté de Jade. Lorsque les arrivants découvrirent à quel point l’endroit était isolé, plusieurs partirent se réfugier au Royaume de l’Aurélius et s’installèrent à Novanadej. Les autres, que ce soit en conséquence de la fatigue du voyage déjà accompli ou parce qu’ils se sentaient plus en sécurité sous le Roi, s’installèrent dans le fort. Ils fondèrent donc une petite communauté du nom de Suaïo. Avec les années, la communauté grandissante finit par récolter quelques mohitiens et comporte moins de 1000 habitants permanents.

Secteur Ouest

Fort Suaio

Le fort Suaio est une imposante place forte qui regroupe tout l'économie locale et sa situation permet de voir ce qui se passe aux alentour. L'architecture a beaucoup changé avec l'arrivé des Mohitiens et l'économie a grandement renfloué les coffres. Militairement c'est un essentiel pour sécuriser le ravitaillement. Si, avant la conquête de l’Aurélius, le fort Suaïo comptait surtout des priants de démons – majoritairement Noctave et Chaos –, ceux-ci ont pour la plupart quitté les lieux par peur de subir la justice déiste. Pour d’autres, ce fut la conversion. Enfin, des réfugiés des divers combats qui firent rage pendant la guerre des trois royaumes atterrirent également à cet endroit.

Hameau d'Asmeb (13)

Cette petite place abrite les immigrés du Mohit. C'est l'un des seuls endroit à l'extérieur de leur pays ou les Mohitiens d'origine ne cherchent pas à modifier leur culture et leurs pratiques pour s'arrimer aux exigences culturels et légales locales. La place du marché est très prisé dans Boursicot et la populace aime bien le savoir faire de ces gens. Quelques fois par année, l'endroit est visité par une caravane arrivant du Mohit. Les jours suivant, les étales débordent épices exotiques, de tapis et autres babioles qui ne sont pas coutumes dans l'Aurélius. Lors de la guerre des Trois royaumes, le petit hameau ne comptait que 40 habitants et n'a pas même été considéré par aucun des belligérants. À la fin de la guerre, le campement comptait plus double d'habitants et commerçait librement avec les troupes de Dagoth.

Hameau en ruine de Dunwirk (14)

Le hameau de Dunwirk était essentiellement des paysans de champs et de terre à bois. Lors de l'invasion de l'armée de D'Aurélius, la populace s'est fait massacrer en grande partie et le hameau y a passé aussi. Personne ne sait réellement pourquoi les Aurélois se sont acharnés autant sur la région.

Secteur Nord Est

La citadelle Neuve-d'Alenwick (en ruine) (15)

Cette place forte est en l'honneur du seigneur Dominique Alenwirk, un preux chevalier et très impressionnant dans les tactiques de guerre qui aurait vécu de 644 à 711. Il régnait sur une grande partie du territoire et contrôlait le pont de la Redoute. Il fut tué durant la grande invasion des Galéonites de 733. Ces derniers ne l'occupèrent jamais et quelques années plus tard il servit de repères à des fanatiques du faux prophète d'Usire. Ce serait des disciples de Goldo qui auraient convaincu les gens de la Redoute de régler le problème des voisins gênants en créant le plus gros feu d'artifice du monde conne et d'au delà. L'explosion eut lieu quelques minutes avant le moment prévue et raya simultanément de l'histoire les deux groupes de fanatiques. Aujourd'hui la citadelle compte encore deux tours à l'équilibre plus que précaire au Sud. Au nord un cratère immense et des débris se retrouvent jusqu'à deux kilomètres prouvant que les artificiers amateurs avaient problèmes raison. L'explosion fut sans égale pour la région.

Hameau en ruine de Ruisseau-aux-pierres (16)

Le hameau de Ruisseau-aux-pierres est essentiellement un village de maçon et de minier. C'est de ce hameau que les pierres de la citadelle on été extraite. Malheureusement, les habitants n'ont pas su se renouveler après l'achèvement de Neuve-d'Alenwick. Le dernier habitant connu de l'endroit y est mort après 50 ans de solitude au printemps 768.

Secteur Sud-Est

Village Hung Mae Shon (17)

Le plus grand village constitué en majorité de Shataïens de tous Bélénos. Arrivés pour la plus part en 754, Ils ont payé cher pour rester neutre, respecter le pouvpir en place sans jamais l'appuyer ou lui nuire. C'est certainement l'un des villages les plus paisible dans tout le comté de Boursicot. Le blé est cultivé tout comme l'orge, le choux et le sarrazin. Quelques rizières sont également aménagés, mais le climat n'aidant pas, les récoltes sont rarement satisfaisante.

Forêt d'Alenwick

Avant la création des comtés et des baronnies par Dagoth, cette forêt était sous la protection du seigneur d'Alenwick puis par des commerçant de la redoute. Longtemps cultivée avec précaution, les efforts entrepris par Dagoth pour couper la forêt de la griffe de l'ouest ont fait chuter le prix du bois et bientôt plus personne ne s'est soucié de cette forêt. Elle a maintenant repris une allure sauvage, tant et si bien que circulent maintenant des histoires de malheureux qui s'y seraient perdu et que l'on aurait jamais revus.

Tertre de la bête cornu

Ce tertre est un endroit où on l'évite parce que les rumeurs des petits hameaux au alentour disent qu'il est maudit et que l'on peut entendre une bête crier durant la nuit. Certains rapportent qu'ils auraient vu cette bête et disent qu'elle a de grande corne comme celle des boucs. Personne ne sait de quand date le tertre, mais il était présent bien avant la plantation du premier arbres de la forêt d'Alenwick.

Baronnie de Jasperie (no 140)

Malgré la présence des forces déistes dans le comté de Boursicot, la région du fort Jasperie est sans doute l'un des endroits les plus dangereux des terres de Bélénos. La garnison établie au fort sort peu, et quand elle le fait c’est à ses risques et périls. Beaucoup de dangers rôdent encore dans les alentours et pour le moment, l’Aurélius n’a pas envoyé de ressources suffisantes pour sécuriser l’endroit.

Secteur Ouest

Ruine de Guet Dufary (18)

Personne ne sait quand Guet Dufary a été construit. On retrouve sa présence dans les archives de toutes les époques. Détruit des dizaines de fois, il a toujours été reconstruit, son importance stratégique ne s'est jamais démentie. Encore aujourd'hui, par son contrôle du côté Est du pont donnant sur l'Aurélius, il est considéré aussi important que ne l'Est le Fort Jasperie pour le contrôle de la région. Malgré cela, le Guet Dufary soufre d'un état de délabrement avancé. Pour plusieurs, ce serait la preuve que l'Aurélius ne considère pas garder Boursicot bien longtemps encore et ne veulent pas faire cadeau des rénovations à leurs ennemis.

Hameau de Nevardorf (19)

Ce petit hameau est l'un des plus paisible de Boursicot. Bien que les principaux intéressés n'ont jamais émis de commentaires, à chaque fois qu'une armée se présente à proximité de la petite communauté de pécheurs, ses habitants clament haut et fort que le village est protégé par Eseldorf! Si l'affirmation peut paraître farfelue, personne n'a encore pris la chance de vérifier.

Secteur Nord

Fort Jasperie

Capitale de la baronnie du même nom, le fort Jasperie était un ancien fort du Conclave Impérial. Pendant le règne de Dagoth, il fut occupé par le baron Crick Nakamura, qui avait le mandat d’empêcher Eseldorf de mener des expéditions dans le territoire de Boursicot. Depuis la conquête Auréloise, le baron Nakamura a quitté les lieux, mais demeure introuvable. Dû à son inhospitalité, le fort Jaspérie compte 1000 résidents.

Ruine du hameau de St-Carl-du-vieux-pieux (20)

Le hameau de St-Carl est le résultat du vieux prêtre Usirien qui a bâti la première bâtisse pour accueillir les pèlerins et avec les années le village a grossit. Lors de l'invasion Galléonite de 733, le hameau et son église en construction reçurent la visite de l'armée en entier. Aucun villageois ne furent épargnés. De nouvelles personnes ont tenté de coloniser l'endroit en 765 mais ils ont quittés avant même le début de la Guerre avec l'Aurélius.

ruine du hameau Grada (21)

Ce ne serait pas une guerre qui aurait causé la perte de ce petit village côtier mais plutôt la force de la nature. Colonisé en 758, l'ensemble des maisons furent détruites par la débâcle du printemps 761. On en retrouve aujourd'hui que les fondations de ces maison en lieu et place du village, mais les débris des maisons s'étirent sur des kilomètres en aval de la rivière Rahcal.

Secteur sud

Hameau de St-Valarc (23)

Ce petit hameau est l'un des plus précieux en terme d'économie grâce à ses moulins à vent. Même lors des guerres, les forces armées qu'elles soient des Dagoth, ou Auréloises, toutes ont soigneusement fait attention de ne pas mettre le feu.

Kibar'Tumbar, la tour en ruine de l'île de Kibar (22)

L'île de Kibar abrite depuis 107 ans la famille naine Tumbar. Ils étaient 27 à leur arrivé et n'ont jamais été beaucoup plus. Personne ne sait trop pourquoi ils se sont établis dans la région ni pourquoi ils y restent, surtout qu'il est bien connu que les nains ne font pas bon ménage avec l'eau. Ils occupent une tour à la base évasée et au sommet écroulé. Selon les histoires ils auraient commencé sa construction dès leur arrivé. En fait tout porte à croire qu'ils ne seraient pas les concepteurs de l'immeuble mais qu'ils tentent depuis un siècle à reconstruire à l'identique la ruine très ancienne d'une tour qui touchait le ciel voilà des millénaires, alors que le fleuve passait plus à l'ouest. L'échec pour le moins surprenant des nains ne serait donc ni dut à leur erreur ou à une quelconque malédiction mais à l'absence de la magie qui supportait la tour originel. La famille Tumbar ne donne pas de précision face à son avenir, mais tout porte à croire que si elle ne trouve pas de solution elle quittera bientôt Bélénos pour rejoindre les monts remparts.

Événements importants (mise à jour Octobre 769)

Actualité

Restaurons Pistaguer, notre patrimoine (Trame 0040)

Les quinze années de règne sous Dagoth ne furent point favorables au bourg de Pistaguer. En l'absence d’investissement et avec la hausse de la corruption, le patrimoine architectural de la ville s’est détérioré, ainsi que son économie. Il est grand temps de restaurer cet héritage déiste. Rénovons les édifices de Pistaguer et rétablissons son économie !

Événement passés

L’Appel de l’Aurélius à l’Est ! (Trame 0011 de mai 769 à août 769)

L’Aurélius est parvenu à tenir ses positions en comté de Boursicot durant l’hiver. Néanmoins, le printemps annonce le retour des hostilités aux frontières avec les troupes de Dagoth. Il faut consolider les gains de notre majesté, Marussia, en fortifiant nos positions à l’Est. Il faudra également intensifier les sentinelles, afin de repousser l’ennemi qui a déjà commencé les escarmouches.

Mai 769

En mai, la 5e lance de sage-castel a travaillé dure pour remettre en état les chevaux d'une troupe de cavalier nouvellement formée après qu'ils aient accusée une escarmouche particulièrement violente. Leurs bons soit ont permis à la troupe de se reconstituer et de reprendre le combat à la frontière qui est toujours un lieu hautement dangereuse pour les troupes Auréloise.

Août 769

Ils sembleraient que les nécromanciens ont manqué de corps à nous envoyer considérant l’efficacité des équipes des sea wolf et de Dimitri Dampierre. Les tensions qui étaient présent au frontière avec les troupes de Dagoth semble s’être calmé pour le moment. Les petites gens pourront en profiter pour retrouver la paix qu’ils méritent. Nous vous sommes très reconnaissant et espérons que vous n’hésiterez pas à revenir nous aider si nous avons besoin d’équipe de vous!

Émeute au fort Jasperie (Trame 0002 Mai 769 à septembre 769)

Les habitants du fort Jasperie sont toujours réfractaires à l’annexion du comté au Royaume d’Aurélius. Depuis le printemps 769, des graffitis sont apparus sur les murs pour appeler à la révolte et des cadavres de chats et dee rats sont fréquemment trouvés devant les portes des gens qui s’affichent publiquement pour la paix.

Mai 769

En mai, des réjouissances se sont tenues sous le prétexte d'un carnaval au Fort Jasperie dans le but de distraire et calmer la population. La fête fut fabuleuse et pendant un temps cela a semblé calmer la population, mais ce répit fut de courte durée. un mois plus tard, la situation est redevenue aussi tendue qu'au printemps et il semble qu'elle ne se réglera pas tant que les responsables ne seront pas jugés pour leurs méfaits.

Juillet 769 fuite des révolutionnaires vers Pistaguer

Les autorités ne s'attendaient pas à ce qu'autant de gens désirent aider à débusquer ces troubleurs de l’ordre publique. Plus d’une soixantaine de miliciens ont répondu à l’appel du Fort Jasperie, mais à quelle prix… Malgré votre intention d’éviter un bain de sang par les révolutionnaires, il semblerait que celui-ci était inévitable tout de même. Une partie de la population a pris la fuite du fort vers Pistaguer suite à la cruauté de certains miliciens envers les agitateurs. Certains concitoyen parlent d’une purge endossé par Faragon Noirfenouile…. Quoi qu'il en soit, l’objectif à été réussi haut la main et plusieurs sauront que grâce à vous, les révolutionnaires ont été mis au silence de manière définitive. Ils sembleraient que la Grande Prêtresse de Gaea Capucine Chateauvieu est favorisé une bonne partie de ce rassemblement militaire. Nous allons savoir à qui faire appel si notre désires est de résoudre les problèmes de manière efficace et définitive.

Septembre 769 La demande de jugement des révolutionnaires de Pistaguer

C’est avec joie que nous vous annonçons que la dernière mission est une réussite. Au vu du travail acharné du Clan Urkvinna, de la garde Sylvestre et des troupes d’Alfred, nous avons le plaisir d’annoncer que les traîtres ont été tous retrouver, capturer et enfermer, attendant leur jugement ! Le retranchement des terres entre Jasperi et Pistaguer. Jugement il a eu, mais nous nous retrouvons dans une impasse : les traîtres ayant été reconnu pour étendre leur idées scabreuses, seront enfermés à perpétuité où ils pourront ainsi vivre dans leur orgueil dévorante.

Évidemment, une autre partie des révolutionnaires souhaitait simplement prendre la poudre d’escampette pour protéger leurs familles. Beaucoup de jeunes familles principalement, ainsi que enfants et bébés. Nous ignorons quel type de sentence nous devons leur imposer.

Après une concertation avec les équipes de travails et les nobles locaux, la clémence a été mis de l'avant. Les familles de révolutionnaires repentis ont été envoyé comme cerf dans les familles de noble locaux. Il doivent ainsi purgé leurs peines en travaillant sous la surveillance de famille noble soutenant le comte.

Institutions établies

Les institutions suivantes sont installées en Boursicot avec la permission de ses dirigeants.

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