Les Terres de Belenos

Plan de sécurité des Terres de Bélénos

Incendies, évacuation et interventions

Dernière mis à jour : 6 juillet 2024


Introduction

Cette page décrit en détails le plan de sécurité des Terres de Bélénos (Plan), qui s’applique à toutes les activités se déroulant sur son terrain, qu’il s’agisse d’évènements organisés par les membres du GN principal (Bélénos) ou par un locataire (Locataire). Les mesures qui y sont décrites sont généralement divisées en trois catégories : les interventions face aux incendie, face aux blessures graves et face aux crises psychosociales.

Il est important de noter que ce plan doit être appliqué de manière universelle par tous et qu’il n’est pas permis à un parti ou un autre de créer son propre plan de sécurité, qui ne s’appliquerait qu’à son activité. Le plan de sécurité présenté ici prévoie des zones d’intervention et des mesures additionnelles pouvant être prises par les Locataires afin de leur permettre d’adapter le plan de sécurité à leur contexte particulier. Ces possibilités d’ajustement sont explicitement indiquées et constituent les seuls moments où l’uniformité du plan n’a pas à être respectée. Au besoin, contactez le propriétaire des Terres de Bélénos, Tomy Goulet, afin de faire valoir vos besoins s’ils ne concordent pas avec les indications trouvées ici.

À noter aussi que la municipalité de Sainte-Clotilde-de-Horton collabore avec la MRC D’Arthabaska pour l’inspection, conformément au schéma de couverture de risque de la MRC. Le préventionniste de la MRC peut visiter le site et l’inspecter selon son calendrier d’inspection quinquennal. S’il y a lieu, après chaque inspection, le préventionniste peut faire des demandes de correctif et nous les corrigeons.

Accès rapide – code QR

La documentation de cette page se veut exhaustive comparée aux textes visant à rester digestes pour les participants (ex.: les plans d’évacuation individuels des bâtiments). Dans les cas où une documentation résumée du Plan est produite, il est demandé d’ajouter le code QR suivant à la fin ou au début de votre résumé. Celui-ci pointe vers la présente page et garantit un accès rapide à quiconque possède un appareil cellulaire récent.

Ressources

Formation sur le PSI des Terres de Bélénos – par Georges Dumont, coordonnateur de la sécurité

Formation à l’utilisation d’un extincteur – par les Services de sécurité incendie de Laval.

Registre d’inspection – version à imprimée en cas de besoin.

Sites et responsables – sous forme de tableau pour ceux qui n’ont pas accès à la Base de données bélénoise.

Engagement du personnel – version à imprimée et à signer en cas de besoin.


Les responsabilités en bref

Propriétaire : S’assurer que le plan est fait et à jour.

Coordonnateur : Vérifier et mettre à jour le plan.

Intervenants : Connaître les mesures qui les concernent.

Occupants : Être informé et suivre les consignes.

 

 

La hiérarchie en bref

1 – Services nationnaux, provinciaux ou municipaux

2 – Coordonnateur de la sécurité et Propriétaire

3 – Équipe d’intervention spécialisée de Bélénos

4 – Équipe d’intervention spécialisée des Locataires

5 – Intervenants de soutien

Responsabilités face au Plan

Les responsabilités associées à l’application du PSI sont les suivantes.

  • Propriétaire : Responsable de veiller à faire mettre à jour le plan de sécurité avec l’aide des personnes compétentes et de nommer un coordonnateur de la sécurité.
  • Coordonnateur de la sécurité : Responsable de la mise en œuvre et de la supervision du PSI, du maintien des équipements de sécurité et de la formation des occupants.
  • Responsables de site et personnel : Le personnel et les participants désignés comme intervenants en cas d’incendie ont un rôle de premier intervenant et doivent suivre la formation offerte, connaître les procédures en cas d’évacuation, l’emplacement des équipements de sécurité et la procédure à suivre afin d’aider les services de lutte contre les incendies à leur arrivée.
  • Occupants : Tous les occupants d’un bâtiment doivent être informés des procédures d’évacuation, de l’emplacement des équipements de sécurité et des actions à entreprendre en cas d’incendie. Leur responsabilité se limite ensuite à suivre les consignes. Ils ne sont pas tenus d’utiliser l’équipement en dehors de ce qui est prévu par la loi.

 

Hiérarchie d’intervention

Dans l’application des mesures détaillées dans ce plan de sécurité, la hiérarchie décisionnelle dépend d’abord de la situation d’urgence : incendie, blessure ou crise psychosociale.

Il est important de noter que la hiérarchie décisionnelle vise à combattre la désorganisation face au danger et qu’elle est soutenue par une compétence probable et non une compétence réelle. Il reste important pour tout individu présent qui possède des compétences utiles et pertinentes face à une situation d’urgence de les faire connaître, et à toute personne en position d’autorité dû à la présente hiérarchie de permettre aux plus compétents d’agir.

Incendies

  1. Les pompiers, mais aussi l’ensemble des services publiques d’intervention en cas d’incendie. Toute personne faisant partie de l’une ou l’autre des équipes d’intervention en cas d’incendie mises en place par la municipalité, la province de Québec ou le Canada (ex.: les ENGI) a autorité sur les équipes d’interventions bélénoises, incluant celles des Locataires. Ces équipes connaissent ensuite la hiérarchie que prévaut entre elles.
    • En cas de dispute, les équipes bélénoises étant réputées non compétentes pour déterminer qui possède le plus haut rang, il est demandé de se fier à la décision du Propriétaire ou du Coordonnateur s’ils sont présents. Dans le cas contraire, il est demandé d’écouter la première personne vous ayant demandé votre collaboration afin de ne pas ajouter au chaos.
  2. Si disponibles, le Coordonnateur de la sécurité et le Propriétaire du terrain sont les prochaines autorités en charge.
    • Bien que le Propriétaire ait un droit plus élevé, celui-ci n’est pertinent qu’en cas de dispute. Par conséquent, il est demandé aux intervenants de chercher le premier individu disponible parme ces deux rôles. N’allongez pas le temps de réaction en ciblant un rôle spécifique à contacter.
  3. Dans le cas d’un incendie, les intervenants compétents pour Bélénos sont les responsables de site et l’équipe d’arbitrage. Ceux-ci sont formés tant dans l’application du présent Plan que dans l’utilisation de l’équipement spécifique mis en place sur le terrain.
    • Important : Si vous possédez l’un de ces rôles, mais n’êtes pas encore formés adéquatement, il est de votre responsabilité de le signaler au Coordonnateur et de vous exclure clairement de la hiérarchie en cas d’incendie.
  4. Dans le cas d’une incendie pendant les activités d’un Locataire, ce dernier doit avoir mis en place une équipe d’intervention spécialisée proportionnelle au nombre de ses participants (environ un intervenant par 30 personnes). Ceux-ci sont habilités à prendre les décisions avant tout intervenant de soutien qui pourrait être présent au moment où l’incendie est déclaré.
    • Bien que les intervenants de Bélénos sont officiellement placés en position d’autorité sur les intervenants des Locataires, cette mesure ne se veut qu’une garantie d’application du Plan pour les Locataires moins au fait des mesures en place. Il est demandé aux intervenants spécialisés de Bélénos0 de n’interférer avec l’organisation des équipes du Locataires que si :
      • Aucun autre intervenant spécialisé n’est présent.
      • Les intervenants spécialisés semblent ignorer une règle de sécurité imporante.
      • Les intervenants spécialisés ne semblent pas en contrôle (ex.: paniquent devant les flammes).
    • Dans le cas, contraire, il est préférable de ne pas intervenir. Gardez en tête que chaque communauté possède ses liens de confiance dont il est préférable de tirer parti en cas d’urgence, ainsi que ses particularités connues davantage des intervenants propres à chacune.
  5. Finalement, en l’absence de l’un ou l’autre des membres prévus pour l’intervention en cas d’incendie, les décisions doivent être déléguées à la personne présente la plus compétente et se portant clairement volontaire.

Blessures graves

  1. Les services médicaux publique en service. Les joueurs possédant une compétence en tant que médecin, ambulancier, infirmier ou autre
  2. Toute personne possédant une compétence médicale reconnue par le Gouvernement du Québec, dans l’ordre suivant :
    1. Médecin spécialisé pour l’intervention requise
    2. Médecin généraliste ou non spécialisé pour l’intervention requise
    3. Infirmier
    4. Ambulancier
    5. Secouriste
    6. Premiers intervenant
    7. Toute autre personne.
  3. L’équipe de secouristes de Bélénos. Celle-ci inclut le Coordonnateur, mais pas le Propriétaire.
  4. Les arbitres et les intervenants psychosociaux. À défaut d’avoir une personne compétente dans l’intervention médicale requise, ces deux corps d’interventions ont l’autorité sur les décisions prises.
  5. Toutes les autres personnes.

Crises psychosociales

Suivant les équipes publiques, l’équipe spécialisée pour ce type de cise à Bélénos sont les membres de son Équipe d’intervention psychosociale.

Pour le moment, il n’est pas requis par les Locataires d’avoir leur propre équipe d’intervention pour ce type de situations d’urgence vu la rareté des personnes compétentes.


L’évacuation en bref

1 – Utiliser les alarmes dès que l’incendie est confirmé.

2 – Évacuer les occupants des bâtiments.

  1. Personnes blessés ou en crise en dernier.
  2. Extincteurs après.

3 – Diviser les responsabilités.

  1. Un responsable d’appeler le 9-1-1, puis l’Accueil.
  2. Un responsable de rester à proximité des lieux pour guider les pompiers et éloigner les nouveaux arrivants.
  3. Les autres responsables guident l’évacuation et font les décomptes.

4 – Guider les personnes vers les champs.

5 – Communiquer et coopérer.

Procédure d’évacuation

Dans le cas où un incendie se déclare, la procédure d’évacuation doit être déclenchée, peu importe le risque perçu par les occupants.

  • Signal d’alerte :
    • Utilisation immédiate du signal mécanique d’alarme afin d’avertir les occupants et les campements voisins de la présence d’une situation d’urgence.
    • Tous les occupants doivent cesser leurs activités et se diriger calmement vers les sorties désignées.
  • Points de rassemblement :
    • Les occupants doivent d’abord se rassembler dans les zones sûres à l’extérieur, loin du bâtiment en feu, en priorisant les chemins menant vers les champs.
    • Les responsables doivent vérifier la présence de toutes les personnes et signaler toute absence aux services d’urgence.
  • Division des responsabilités :
    • Un responsable doit être désigné pour faire la coordination avec les services d’urgence à leur arrivée et pour empêcher de nouveaux arrivants de se mettre en danger. Cette personne est également responsable de contacter l’Accueil immédiatement afin de permettre au propriétaire et au coordonnateur de la sécurité d’être informés rapidement.
    • Les autres responsables présents doivent se concentrer sur l’évacuation des personnes présentes et rassemblées.
    • Une fois les occupants rassemblés à leur destination finale (champ le plus proche), un responsable doit être désigné pour contacter l’Accueil et leur donner efficacement les nombres et l’emplacement des occupants du site évacué.
  • Chemins d’évacuation :
    • Les chemins d’évacuation à l’intérieur des bâtiments doivent être dégagés en tout temps et clairement signalés.
    • Les plans d’évacuation doivent être affichés dans chaque bâtiment, indiquant les sorties de secours et les points de rassemblement. Il existe un plan par étage.
    • Une fois les occupants rassemblés, les responsables doivent les conduire hors de la forêt, vers le champ le plus proche, en utilisant la Route du Roi, la Route du Monastère ou la Route Perdue, dès que possible.
  • Évacuation d’autrui :
    • Vu leur construction, aucun bâtiment ne bloque suffisamment le son pour empêcher une personne consciente d’entendre l’alarme et les indications faites à voix haute.
    • De la même manière, il n’existe présentement aucun « recoin » où une personne peut se cacher hors de portée des alarmes et des indications des évacuateurs. Les occupants doivent se préoccuper uniquement des personnes présentes dans leur aire de jeu et sortir calmement. 
    • En cas de crise d’un occupant (ex. : panique d’un individu) :
      • Si un membre de l’équipe d’intervention psychosociale est présent, suivez ses indications.
      • Si aucun intervenant qualifié n’est présent, les occupants en crise doivent être conduits à l’extérieur en utilisant une force raisonnable et sans mettre les autres occupants en danger.
    • En cas d’évacuation d’un individu dont la mobilité est réduite par une blessure :
      • Évacuez d’abord les autres et vous assurant que l’individu blessé ne gêne pas la sortie.
      • Désigner une personne pour aider l’individu à se mouvoir jusqu’à l’extérieur.
  • Extinction des flammes : 
    • L’utilisation des extincteurs afin d’éteindre tout incendie doit se faire après l’évacuation des lieux.

L’équipement de sécurité en bref

Extincteurs : Boîte postale, dortoirs et cuisines.

Avertisseurs : 1 par bâtiment standard. 2 par gros bâtiment.

Système d’alarme : Cloches, cornes de bruie et veilleurs­.

Équipement de sécurité

L’équipement de sécurité suivant est présent dans tous les sites du terrain pendant les activités. Entre celles-ci, il peut être récupéré afin d’être entreposé. Aucun usage des bâtiments, autre que pour leur entretien, n’est permis entre les activités.

  • Extincteurs :
    • Conformes à la NFPA 10.
    • Placés à des emplacements stratégiques : 
      • À l’entrée de chaque bâtiment
      • Dans les dortoirs à l’étage 
      • Dans les zones à risque.
    • Des extincteurs supplémentaires sont disponibles à l’Accueil pour les évènements qui le requièrent.
    • Les extincteurs sont inspectés tous les 12 mois et maintenus en état de fonctionnement. Une fiche d’inspection signée est disponible à l’Accueil pendant la saison estivale. Sa version électronique est disponible en tout temps.
  • Avertisseurs d’incendie :
    • Tous les bâtiments possèdent au moins un avertisseur d’incendie répondant aux normes CAN/ULC-S531. Cet avertisseur est placé dans l’aire servant de dortoir ou, en sont absence, de lieu de réunion principal.
    • Les bâtiments de plus de 25 mètres carrés d’aire de vie, possédant une cuisine intérieure ou possédant plus d’un dortoir possèdent un avertisseur supplémentaire par aire servant à ces fonctions et/ou par tranche de 15 mètres carrés supplémentaire.
  • Systèmes d’alarme :
    • Selon ce qui est prévu par le code de construction du Québec en zones éloignées sans électricité, des systèmes d’alarme à batterie ou à énergie solaire, des alarmes mécaniques ou des détecteurs interconnectés doivent être utilisés.
    • En plus des avertisseurs présents, tous les sites possèdent des systèmes mécaniques (cloches et cornes de bruit) permettant de réveiller et d’avertir les occupants de tous les bâtiments du site en cas de situation d’urgence. 
    • Les équipements d’alarme sont disponibles à tous les occupants du site et vérifiés par le personnel (responsables de site et arbitres) à chaque activité.

Politiques de sécurité en bref

Flammes vives : Dans les ronds de feu pré-approuvés seulement. Inclut la cigarette.

Systèmes électriques : Pour éclairage approuvé seulement. Pas de chauffage.

Système d’alarme : Veilleurs, cloches et cornes de bruits disponibles à tous.

Propane : Interdit.

Cellulaires : Fermés sauf pour l’arbitrage, les intervenants et les organisateurs. Dérogations possible sur approbation.

Bâtiments : Toutes les constructions doivent être planifiées et approuvées.

Politiques de sécurité

Les politiques de sécurité suivantes sont en vigueur en tout temps sur le terrain, même en dehors des activités.

  • Flammes vives :
    • Autorisées uniquement dans des zones désignées (ronds de feu, tables à feu, forges) approuvées par les propriétaires et respectant le Règlement numéro 95 sur la prévention des incendies de Sainte-Clotilde-de-Horton.
      • Les zones désignées sont inspectées par le préventionniste de la MRC.
      • L’usage de flammes vives inclut la cigarrettes, les cigars et tout produits similaires.
    • L’utilisation de chandelles, lanternes ouvertes, poêles à butane ou autres dispositifs de chauffage est strictement interdite.
    • L’utilisation d’équipement de chauffage, qu’il soit électrique ou à combustible, est également interdite.
    • Une contravention à ces directives est passible d’expulsion du terrain et des activités gérées par Les Terres de Bélénos.
  • Systèmes électriques :
    • Tous les systèmes doivent être approuvés et conformes aux normes de sécurité appropriées (ULC et/ou CSA). 
    • Ils doivent fonctionner sur des circuits 12 volts DC ou plus faibles, être divisés en circuits de 3 ampères et être protégés par des fusibles.
    • Toutes les connexions doivent être protégées des intempéries, des accrochages et bris accidentels par des jonctions protégées et des plaques de sécurité.
  • Construction et aménagement :
    • Chaque bâtiment doit avoir au moins deux sorties (portes ou fenêtres) dès que celui-ci possède l’une des caractéristiques suivantes. 
      • Il contient plus de 9 places de lit.
      • L’une de ses aires de vie possède plus d’une pièce.
      • Il est impossible de se rendre directement à l’extérieur de l’enceinte du bâtiment (incluant sa cour intérieure lorsqu’applicable) en suivant un trajet sans obstacle de moins de 15 mètres.
      • L’une des aires de vie n’est pas adjacente au rez-de-chaussée.
    • Toute nouvelle construction doit être approuvée pour respecter les normes de sécurité. Des plans complets du bâtiment doivent être fournis.
    • Aucune construction ne peut être faite hors des sites approuvés. Ces sites possèdent une taille définie limitée et il n’est pas possible de les agrandir plus que la surface autorisée par la Commission de la protection du territoire agricole.

Formations requises en bref

Coordonateur : Pompier 1 ou son équivalent.

Personnel : Obligatoire sur le Plan de sécurité. Sur l’utilisation de l’équipement en plus.

Occupants : Sensibilisation. Connaître les personnes en charge.

Formations

  • Formation du coordonnateur :
    • Le Coordonnateur de la sécurité doit être formé et détenir le certificat « Pompier 1 » ou son équivalent reconnu par l’École nationale des pompiers du Québec.
  • Formation du personnel :
    • Le personnel doit recevoir une formation régulière sur l’utilisation des équipements de sécurité, les procédures d’évacuation et la réponse aux incendies.
    • Les sessions de formations sont organisées par le Coordonnateur de la sécurité et ont lieu selon les besoins des nouveaux responsables et arbitres nommés.
    • Une autoformation est rendue disponible en ligne et doit être révisée chaque année par tous les membres du personnel responsable.
  • Sensibilisation des occupants :
    • Les occupants des bâtiments d’un site doivent être sensibilisés à connaître les règles et procédures de sécurité par leurs responsables de site.
    • Cette sensibilisation doit être faite à chaque activité pour les nouveaux occupants et au début de chaque été pour l’ensemble des occupants d’un site.

Entretien en bref

Extincteurs : Consulter le guide du fabricant au moins une fois par an et le suivre au besoin.

Alarmes : Vérifiées au début de chaque activité. Remplacées au besoin.

Bâtiments : Inspectés chaque mois. Toute modification ou nouvelle construction doit être approuvée avec des plans.

 

Documentation en bref

Responsables : Le Propriétaire et le Coordonnateur, avec l’appuie du Personnel ou d’un délégué.

Registres : Disponibles à l’Accueil ou sur chaque site (inspection locale).

 

 

Entretien et inspection

  • Équipements :
    • Tous les extincteurs et avertisseurs doivent être inspectés régulièrement et entretenus conformément aux recommandations du fabricant.
    • La présence et le fonctionnement des équipements mécaniques d’alarme doivent être vérifiés à chaque activité.
    • Les systèmes électriques doivent être vérifiés régulièrement pour détecter et corriger les défauts potentiels.
  • Bâtiments :
    • Les bâtiments doivent être inspectés régulièrement pour s’assurer que les normes de sécurité incendie sont respectées.
    • Toute modification ou nouvelle construction doit être approuvée par les autorités compétentes.

 

Documentation et rapports

  • Procédures et documentation
    • Les mesures en place sont disponibles en tout temps de manière électronique via les différents espaces virtuels des Terres de Bélénos (site web, Drive, Site de gestion, FTP, etc.)
    • Une version papier est disponible à l’Accueil pendant les activités de la saison estivale.
    • Les plans d’évacuation à jour sont disponibles à tous les joueurs en tout temps.
  • Registres d’inspection :
    • Des registres de toutes les inspections sont maintenus à jour pour :
      • Les extincteurs
      • Les avertisseurs
      • Les alarmes mécaniques
      • Les systèmes d’éclairage.
    • Les registres doivent être disponibles pour examen par les autorités de sécurité.
    • Les plans d’évacuation doivent être régulièrement mis à jour sur tout déplacement de l’équipement de sécurité ou toute modification.
  • Rapports d’incidents :
    • Tout incident lié à la sécurité incendie doit être documenté avec des détails sur l’événement, les actions prises et les mesures préventives futures.
    • Ce rapport doit être conservé électroniquement pour un délai d’au moins 6 ans.

Rappel – Contact des services d’urgence

Si vous êtes témoin ou victime d’une situation d’urgence qui menace votre sécurité, celle des autres, vos biens ou l’environnement, vous devez composer le 911.

Exemples de situations nécessitant une communication au 911 :

  • Incendie
  • Vol
  • Accident
  • Personne armée
  • Arrêt cardiaque

 

Coordination avec les services d’urgence

  • Plan de communication :
    • L’une des personnes chargées de l’évacuation a la responsabilité d’assurer la communication pour alerter rapidement les services d’urgence en cas d’incendie et ensuite informer l’Accueil de la situation.
    • Il doit en outre fournir des informations détaillées sur l’emplacement du site, les accès et les particularités des bâtiments.
  • Plan de coopération :
    • Les responsables de sites et les membres du personnel doivent travailler en étroite collaboration avec les services d’incendie locaux pour garantir une réponse rapide et efficace en cas d’urgence.
    • Une liste des responsables de sites et des membres du personnel est dressée pour faciliter la coordination avec le propriétaire.
    • Les plans d’évacuation et les installations doivent être régulièrement revus avec les services d’urgence pour s’assurer qu’ils sont adéquats.
  • Équipement de lutte contre les incendies :
    • Un VTT équipé d’un système d’eau pour la lutte contre les incendies est rendu disponible aux pompiers. Son emplacement est indiqué sur place et dans le plan de coopération.
    • Le système d’eau est vérifié à chaque activité, peut contenir 10 000 litres d’eau et est muni d’une motopompe incendie portable 18 HP (Débit maximal de 1 400 l/min et HMT max 80m).
    • Le VTT et le système d’eau ne sont disponibles sans préavis que pendant les activités, mais peuvent être demandés au Propriétaire à tout moment en le contactant directement.