Amaï

De Illimune
Brouillon : Ce texte n'est pas complet, présente des idées qui ne sont pas entièrement organisées et/ou qui peuvent ne pas être cohérentes avec l'univers de jeu. Il n'est pas conseillé de les rapporter en jeu pour le moment, car le contenu actuel peut être contredit par la version finale.
Responsable : Jefferson Rivard
Apparence des Amaï.

Introduction

Amaï, Elfe Noir, Ishtar ou Elfe de la Nuit, cette race est connue sous plusieurs noms, mais un seul est vrai pour le peuple des élus d’Amaï’ra. Les Amaï sont unis par la même Foi, à quelques exceptions près ; ceux qui ne suivent pas le culte sont rapidement remis sur le droit chemin, ou sacrifiés à la déesse, en espérant que leur âme retourne à la lumière de la Mère de la Nuit. La race est unie à la déesse, certains y voient une servitude, alors que d’autres y voient un don divin. Nul ne peut le nier, les deux sont intrinsèquement liés, un pacte scellé par une culture millénaire et une tradition des plus rigoureuses (voir Les Montagnes Noires).

Quant aux Amaï du Faernen Qu’ellar (Voir Les Montagnes Noires), généralement appelés Elfes Noirs, ceux-ci n’ayant pas de Maison et vivant en-dehors de la société matriarcale, peu de choses sont connues. Plus souvent que jamais, ils sont difficiles à distinguer des Amaï, puisqu’ils font des efforts pour ne pas se faire repérer hors de leur territoire.

Il est connu de tous les Amaï qu’ils furent autrefois des Elfes, mais ils considèrent ce temps avec dégoût et évitent généralement le sujet, à moins de parler de cette vie comme imparfaite. Une imperfection qui fut corrigée par la déesse Amaï’ra, lorsqu’elle s’associa, de gré ou de force, avec les démons lors de la Grande Guerre des Dieux. Ce qui est sûr, c’est que lorsqu’elle devînt un démon, elle changea tous ses suivants en Amaï. Ce rituel de transformation fut mené par Mirk’Dira, l’Originelle, la première véritable Amaï, alors que tous les suivants de la déesse n’étaient encore que des elfes arcanistes. Un Amaï se contente de cette version écourtée, mais une prêtresse d’Amaï’ra sera certainement à même de connaître les détails en long et en large.

Description générale

Physique

Leurs oreilles pointues et un physique généralement semblable trahissent une origine commune aux Elfes. Toutefois, c’est leur déesse, Amaï’ra, qui les modifia à son image, leur faisant cadeau d’une peau grise foncé, de cheveux allant d’un blanc immaculé à un argenté pâle et des yeux jaunes, rouges, mauves ou violets. La barbe est absente ou coiffée élégamment, il en va de même pour toute pilosité faciale. Quant aux cheveux, longs ou courts, ils sont généralement mis en valeur par divers artifices de coiffure. L’hygiène personnelle est des plus importante et l’apparence physique se veut un rappel de leur ascendance divine, particulièrement chez les femmes qui sont les incarnations de ce pouvoir. La perfection étant demandée, certains individus se procurent de riches parfums et encens pour masquer toute odeur non voulue.

Vêtements et parures amaï

Les vêtements participent à l’image que se construisent avec soin chaque membre de la société amaï. Des Montagnes Noires ou du Conclave Impérial, un Amaï montrera toujours son appartenance à sa Maison et son rang avec son habillement. De noir vêtu, un Amaï portera aussi avec fierté les couleurs et l’emblème de sa Maison, les motifs de toiles d’araignées, rapellant leur déesse, et souvent des bijoux qui ajouteront à la richesse de son rang.

Les Amaï les mieux connus sont ceux des trois Maisons régnantes sur les Royaumes Souterrains de Bélénos. Ceux de la Maison Everthyl porteront le vert, ainsi qu’une araignée, rappelant la fameuse Araignée Everthyl vivant dans les forêts de leur province (Voir Les Montagnes Noires). Le symbole de l’araignée varie selon le clan de naissance, mais il s’agit là d’une particularité de cette Maison.

Les membres des Cinq Flammes Obscures agrémenteront leurs habits de bleu royal et d’argent, ajoutant le symbole de l’Hydre d’Amaï’ra, souvent sous la forme d’une tête de dragon à plusieurs yeux. La Maison est elle-même composée de différentes familles, appelées Têtes, chacune ayant un symbole rappelant l’Hydre. Quant aux Amaï de la Source Rouge, ils sont facilement identifiables par leurs habits rouges et noir, complétés de détails dorés et du symbole de leur Maison : une main de laquelle coule une chute sanglante.

De voir un Amaï uniquement habillé de noir est rare, il s’agit souvent d’une obligation par son rang actuel. Telles les Meldrinn’e du temple d’Ilhar Qu’ellar qui durant leur sacerdoce ne sont dédiées à aucune Maison et donc ne peuvent pas en porter les couleurs. L’appartenance à une Maison est des plus importantes ; de ne pas porter ses couleurs possède ainsi une signification pour l'individu et un message pour les autres.

Tatouage

Quant aux tatouages, ils sont devenus avec le temps un élément esthétique beaucoup plus personnel que le reste de l’apparence qui est souvent dictée par la Maison de l'individu. Certains ont toutefois des significations précises. Par exemple, un crâne blanc sur le visage signifie que l’individus est un Kyorlis, élite gardien des maitresses et matriarches, puisqu’ils sont souvent comparés aux scarabées de la mort trouvés dans les cavernes des Montagnes Noires, eux-mêmes possédant une tête de mort sur leur carapace. La plupart des esclaves sont marqués du symbole de leur Maison à même leur peau, ainsi de posséder un tel tatouage est un signe d’asservissement ; il se peut que des Amaï soient ainsi identifiés, mais c’est là une terrible marque à posséder.

Psychologie

La psyché d’un Amaï dépend grandement de sa culture, ainsi un Amaï est avant tout un être profondément croyant, suivant religieusement sa Matriarche ou sa Maîtresse, mais des nuances se glissent ici et là selon la Maison d’appartenance. Les points divergeant sont souvent sur les questions de nécromancie et de l’appréciation des autres races.

En tout point, le peuple amaï est fier. Fier de son héritage divin, fier de sa grande civilisation, fier de son nom et ce qu’il signifie. Quiconque remet en question cette fierté s’attire le courroux d’êtres millénaires, cruels et intelligents, spécialisés dans les machinations et qui, grâce à leur longévité, ont le temps et la patience de réfléchir avant d’agir, afin de toujours frapper juste.

Relation avec les autres races

De manière générale, un Amaï aborde les autres races avec dégoût et un sentiment de supériorité. Toutefois, certaines races occupent une place particulière dans le dédain et le dégoût qu’elles trouvent dans le cœur des Amaï.

Se considérant comme les seuls vrais Elfes, ils sont prêts à tout pour exterminer ceux qui se trouveront sur leur territoire. Cette haine nourrie de siècles d’affrontements et tenant une origine sanglante de trahison, est aussi dirigée contre Sylva, qui plus que n’importe quelle autre divinité, est détestée avec ferveure par les Amaï. Les Raskar sont aussi la cible de toutes les violences, pour un Amaï, un bon rat est un rat mort. Si les Amaï des Montagnes Noires sont plus enclins à les prendre en esclavages ou même à les tolérer dans certaines sections du territoire souterrain, ceux du Conclave Impérial chassent encore à vue la vermine.

Toutefois, il est possible de voir des alliances se créer entre les Amaï et d’autres races du Chaos. Les Orcs font de bonnes brutes de guerre et les Goblins sont souvent vus sur le champ de batailles comme ingénieurs ou même arcanistes ; les alliances avec ces deux races sont fréquentes et tous y trouvent avantages. Les Gnolls sont devenus, avec les années, des alliés, autant grâce à leur société aussi organisée autour de matriarches, que par leur peur de la magie, les rendant plus simples à contrôler.

Les humains ont la propension de l’ordre comme du chaos et il est difficile de parler d’eux comme un tout. Ainsi, les relations dépendent d’une nation à une autre. Généralement, c’est par l’entremise d’humains priants Amaï’ra, au service direct des Maisons amaï, que le commerce hors des Montagnes Noires se déroulent. Ainsi certains individus sont considérés comme alliés, mais la plupart sont tenus à distance ou soumis à l’esclavage. Relation avec les autres races De manière générale, un Amaï aborde les autres races avec dégoût et un sentiment de supériorité. Toutefois, certaines races occupent une place particulière dans le dédain et le dégoût qu’elles trouvent dans le cœur des Amaï.

Se considérant comme les seuls vrais Elfes, ils sont prêts à tout pour exterminer ceux qui se trouveront sur leur territoire. Cette haine nourrie de siècles d’affrontements et tenant une origine sanglante de trahison, est aussi dirigée contre Sylva, qui plus que n’importe quelle autre divinité, est détestée avec ferveure par les Amaï. Les Raskar sont aussi la cible de toutes les violences, pour un Amaï, un bon rat est un rat mort. Si les Amaï des Montagnes Noires sont plus enclins à les prendre en esclavages ou même à les tolérer dans certaines sections du territoire souterrain, ceux du Conclave Impérial chassent encore à vue la vermine.

Toutefois, il est possible de voir des alliances se créer entre les Amaï et d’autres races du Chaos. Les Orcs font de bonnes brutes de guerre et les Goblins sont souvent vus sur le champ de batailles comme ingénieurs ou même arcanistes ; les alliances avec ces deux races sont fréquentes et tous y trouvent avantages. Les Gnolls sont devenus, avec les années, des alliés, autant grâce à leur société aussi organisée autour de matriarches, que par leur peur de la magie, les rendant plus simples à contrôler.

Les humains ont la propension de l’ordre comme du chaos et il est difficile de parler d’eux comme un tout. Ainsi, les relations dépendent d’une nation à une autre. Généralement, c’est par l’entremise d’humains priants Amaï’ra, au service direct des Maisons amaï, que le commerce hors des Montagnes Noires se déroulent. Ainsi certains individus sont considérés comme alliés, mais la plupart sont tenus à distance ou soumis à l’esclavage.

Origine

Ils sont principalement issus des Montagnes noires