Royaume d'Aurélius

De Illimune
Brouillon : Ce texte n'est pas complet, présente des idées qui ne sont pas entièrement organisées et/ou qui peuvent ne pas être cohérentes avec l'univers de jeu. Il n'est pas conseillé de les rapporter en jeu pour le moment, car le contenu actuel peut être contredit par la version finale.
Responsable : Jefferson Rivard

Informations générales
Forme de gouvernement Royaume féodal traditionnel.
Capitale Héodim
Dirigeant Amaury Tournaye de Penthièvres
Religion(s) Divinités de l'Ordre & Voix de la Balance
Population Environ 105 000 têtes. Humains (60%), Elfes (15%), Nains(15%), Chapardeurs(8%), Autres races de l'Ordre (2%).
Armée Organisée. 15 000 troupes de métiers.
Gentillet Un Aurélois ; une Auréloise.
Corruption Modérée. Principalement causée par la guerre et la proximité avec les forces de Chaos.

Introduction

Le Royaume d’Aurélius représente la tradition féodale à son meilleur. Très hiérarchisée comme société, c’est un Royaume qui tire ses influences du Saint-Empire de Twiden et de la Confédération Udienne. La volonté d’unification sous l’ordre et la paix de l'ensemble du territoire de Bélénos.

Situation géographique

Le royaume d’Aurélius couvre tout l’Ouest bélénois, des provinces impériales du Yarbrield et de Varrop jusqu’au fleuve Maxence. Depuis 771, le royaume possède une petite parcelle de territoire de l’autre côté du fleuve Maxence, elle est la trace de la perte du Comté de Bousicot aux dépens du royaume de l’Est. Ensuite, l’Aurélius s’étend au Sud sur les anciens territoires de la Confrérie Markelus et de Bran Wor’ge Quarth, ces terres qui appartenaient au Conclave Impérial avant leur invasion par les Aurélois vers 746.

Le Royaume est composé de 3 duchés : Le duché de la Roselière, Le duché d’Héodim et le duché Anlwick

Dirigeant et gouvernement

Le très noble royaume d'Aurélius est dirigé par la fleur de la noblesse des Terres de Bélénos. Ce sont ces valeureux héros, qui ont livré combat contre les forces du mal, qui rendent justice et assurent la prospérité des Aurélois.

Pour les décisions majeures du royaume, le roi / la reine convoque toujours le Conseil des Pairs réunissant les ducs et duchesses, les marquis et marquises, les comtes et comtesses, et les barons et baronnes, mais aussi d’autres personnalités notoires des duchés. C’est ce sage Conseil qui décide par exemple de l’entrée en guerre du royaume ou de l’ouverture des routes commerciales.

Le Roi / La Reine

Le Roi Amaury Tournaye de Penthièvres

La famille des Tournaye de Penthièvres: La famille argylo-bélénoise de Tournaye de Penthièvres est issue du mariage du seigneur Lanfranc de Tournaye et d’Anne-Sophie de Penthièvres. Ces deux illustres personnages sont maintenant retirés au Bastion. Leur fils aîné, le prince Amédée, est mort dans la guerre contre le Conclave, et leur deuxième fils, Amaury, était en exil. Leurs deux filles cadettes, Sybille et Aude, n’ont jamais été intéressées par la chose politique. C’est le seigneur Lanfranc qui avait anobli Marussia en lui donnant son nom - de Tournaye. C’est grâce à cela qu’elle avait pris la tête de la famille régnante d'Aurélius et qu’elle prétendait au trône bélénois. Loyaux et honnêtes, les Tournaye de Penthièvres sont également réputés pour leur sens de la politique et un certain machiavélisme bien argylien.

Grade, Titre & Noblesse

Le royaume suit une stricte hiérarchie féodale militaire de droit divin. Cette structure est dynamique et il est possible d'y monter ou d'en descendre. Les principaux moyens d'ascension sont l'anoblissement, la chevalerie, la sainteté (guerrier ou mage saint), l'archi-arcanisme, les mariages ou l'adoption. Une fois un titre atteint, il vient avec des privilèges et obligations de plus en plus importants qui sont héréditaires.

  • reine/roi
  • duchesse/duc
  • marquise/marquis
  • comtesse/comte
  • baronne/baron
  • chevalier/(e)
  • bachelière/bachelier
  • vavasseure/vavasseur
  • citoyenne/citoyen
  • non-citoyenne/non-citoyen

La couronne de Bélénos

La légitimité du souverain d'Aurélius et de Bélénos vient de la couronne de Penthièvres. La lignée des Penthièvres est la lignée des rois et des reines de Bélénos, lignée que l’on croyait éteinte depuis des siècles, mais qui a refait surface quand le seigneur Lanfranc a épousé la duchesse Anne-Sophie de Penthièvres en 745 lors du solstice d'hiver.

La Noblesse Auréloise

La noblesse est partagée par un cercle privilégié de grandes familles dans Aurélius, tous représentent celui-ci à leur façon. Chacune de ces familles s'élargit également à sa façon au gré des naissances et des adoptions. Il n'est d'ailleurs pas rare que les personnages les plus en vue d'Aurélius courtisent ces grandes familles afin d'en devenir les dignes membres et représentants. Tous n'y ont cependant pas accès, chaque famille gardant jalousement ses propres jardins secrets. Voici un bref aperçu des familles nobles du Royaume, celles qui ont des ramifications ou une importance particulière dans le paysage politique. Certains nobles majeurs ne sont pas présents dans cette liste, généralement en raison de l’absence actuelle de ramifications dans leur lignée.

  • Les Carderonne: Une riche famille marchande urdienne qui a développé les Collines Hurlantes en 743-44. Ses membres sont d'habiles négociants. Le baron Vitale Carderonne est maintenant à la tête de la famille.
  • Les Durance: Cette famille impériale qui s'est démarquée par ses faits d'armes en Bélénos. Les barons Durance sont reconnus pour leur courage sans limite et leur sens de l'honneur inégalé.
  • Les Dubrouillard: Famille née du mariage entre l'archimage Nessa Dubrouillard et du baron et chevalier Baptiste, deux héros du secteur Hyden. Florence Dubrouillard a récemment été élevée au titre de Grande sagesse d'Aurélius et duchesse de la Roselière.
  • Les Méricourt: Les Méricourt forment une famille d’orphelins qui a été fondée par l’hospitalier Philippe de Méricourt. Aujourd’hui, c’est la marquise Isabelle de Méricourt qui dirige l’orphelinat et la famille. Les orphelins sont élevés dans les principes de la chevalerie et sont formés très jeunes au combat.
  • La Trémoille: L'une des plus anciennes familles en Aurélius, grands amis des autorités auréloises et fervents porteurs de la cause auréloise, ses membres sont aussi d'ardents défenseurs de la foi aédonite. La famille La Trémoille bénéficie de deux figures majeures aujourd’hui : le Comte Frédéric de Nilthimer de la Trémoille et le Duc Perudir Varovich de la Trémoille, le premier assurant la fonction de patriarche de la famille.
  • Les Delavigne : Dirigée par la comtesse Bénédicte Delavigne, la famille Delavigne est la toute première famille qui a été anoblie par le nouveau duc Amédée. Le nom Delavigne est un nom très répandu dans Bélénos, car c'est une famille ancestrale et originaire des terres. Ses ramifications sont assez nombreuses et on retrouve une grande influence de leurs membres dans le Souffle du Peuple. Toutefois, les Delavigne qui suivent la comtesse Bénédicte ont choisi de prêter allégeance à la reine Marussia au nom de Bélénos.


Langue et culture

Les Aurélois constituent certainement le peuple libre le plus diversifié de Bélénos. Contrairement à d'autres seigneuries et malgré l’alliance avec la Bastide, les Aurélois ne sont généralement pas xénophobes et acceptent volontiers les étrangers dans toutes les couches de la société dans la mesure où ceux-ci participent au rêve d’unification du pays. Il y a donc parmi la population de nombreux Bélénois (de plus d'une génération), des Impériaux, des Urdiens, des Khalonniens, des Argyliens et des Nordiens. Il y a quelques exceptions à cette ouverture : par exemple, les priants des dieux de Chaos, qui sont honnis, mais aussi les Galléonites, qui sont toujours vus avec mépris et méfiance.

Bélénos ayant autrefois été sous le régime impériale, la langue la plus répandue dans le Royaume est le tweel. L'Aurélius n'échappe pas à cette règle. Ceci dit, les langues parlées sur le territoires sont aussi diversifiées que sa population.

En ce qui concerne la culture auréloise, celle-ci prône des valeurs qui tendent à maintenir en vie un idéal chevaleresque en perdition un peu partout à travers Illimune. L’éducation, considérée comme un mécanisme important dans le processus de transmission de ses valeurs, est dispensée au peuple dans l’optique de le faire adhérer à ces hauts principes qui articulent la société bien balisée qu’est le Royaume d’Aurélius :

  • Noblesse : Les dieux ne nous ont pas faits égaux. Ainsi, il appartient aux meilleurs de protéger les autres. Cette valeur est dans le sang et instaure ainsi l’ordre social voulu par les dieux. Celui qui s’est vu placé au-dessus des autres se doit d’agir avec honneur et sagesse.
  • Honneur : Les Aurélois sont braves et fiers en tout temps. Ils se doivent d’inspirer le respect et la confiance par leur comportement honorable.
  • Foi : Les Aurélois sont pieux et dévots, reconnaissants de tous les dieux honorables d’Illimune. Ils savent qu’il est de leur devoir de réaliser la volonté divine sur terre et de combattre les hordes du Mal et du Chaos. Plueisurs fêtes honorant les dieux de l'Ordre sont d'ailleurs célébrées en Aurélius.
  • Fidélité : Les Aurélois sont fidèles à leurs serments; ils honorent leurs seigneurs et les exigences de l’esprit chevaleresque. Ils s’engagent à protéger leurs vassaux; ils jurent de travailler pour le peuple, de protéger les familles, ainsi que ceux qui dépendent d’eux avec honneur, constance et courage.
  • Vaillance : Un Aurélois ne se laisse jamais abattre, il est tenace et peu importe les obstacles qui se présentent devant lui, il cherchera le moyen de les surmonter. Il persévère dans l’adversité avec vaillance.

Quant aux Bélénois du Royaume, la plupart sont d'origine impériale étant donné la proximité avec l'Empire. Plusieurs sont des descendants des colons arrivés en 675 et de leurs escortes (notamment les La Trémoille et les Durance). Ces familles sont donc intégrées à Bélénos depuis trois générations. Le Royaume compte néanmoins d'autres Bélénois de plus ancienne souche, notamment à Vertalia qui remonte à six ou sept générations. De plus, les grands mouvements de population causés par la guerre des Faux-Prophètes ont bénéficié grandement à l’Aurélius, puisque le Royaume a toujours été considéré, malgré tous les bouleversements qui ont ponctué les deux dernières décennies, comme une terre relativement sécuritaire et stable. Nombre de réfugiés bélénois en provenance des autres seigneuries ont établi résidence dans l’Aurélius lors de cette guerre et de la conquête de Dagoth.

Économie et commerce

Grâce aux terres fertiles qu'il occupe et aux deux rivières qui le traverse, le Royaume d’Aurélius bénéficie d’une agriculture riche et variée et d’un couloir commercial exceptionnel quand ce dernier n’est pas entravé par les conflits ou toutes autres circonstances attribuées à l'instabilité de Bélénos. L’Aurélius bénéficie également d’élevages importants et de quelques mines dans les collines qui bordent la vallée.

Autrement, les Aurélois sont très urbanisés, le pays possédant facilement une douzaine de grandes villes et un nombre égale de villages importants possédant leurs propres murs. Il est estimé que plus de la moitié de la population vit sous la protection de ces murs, ce qui crée un commerce diversifié et fleurissant.

À la suite de la migration de la population en provenance de l'est vers l’Aurélius - migration causée par la guerre des Faux-Prophètes - le groupe commercial connu sous le nom de la Hanse d’Hyden, dirigé par sir Ulrich du Piémont, a déplacé une grande partie de ses activités vers l’Aurélius, établissant plusieurs comptoirs ici et là et développant un impressionnant réseau de caravanes à l’intérieur du pays. De paire avec l’économie interne des grandes villes, cette initiative vint permettre de connecter efficacement le commerce des différentes baronnies du Royaume, le rendant plus stable et résistant aux aléas de la guerre.

Finalement, grâce à sa frontière avec le Saint Empire, le Royaume d’Aurélius a longtemps bénéficié d’une prospérité commerciale particulière pour une seigneurie bélénoise. Cependant, les quinze dernières années ont vu l’imposition d’un blocus impérial. Quand les relations sont bonnes, le Duché profite des prix les plus bas pour toutes les denrées impériales et urdiennes, mais pendant longtemps, d’autres solutions durent être trouvées pour éviter le déclin. Une attente avec les Galléonites du nord permit aux commerçants aurélois d’utiliser le fleuve Maxence pendant un temps en toute quiétude – c’est-à-dire sans craindre la menace de Dagoth – pour acheminer des marchandises un peu partout sur le continent, ce qui assura brièvement une relative prospérité au royaume. Autrement, les territoires de l’Aurélius sont en eux-mêmes assez riches (fertiles et plein de ressources) pour que l’impact du blocus ne se soit pas trop ressentit dans la population, mais cela demande une habileté de gestion beaucoup plus importante que sans le dit blocus. À l’aube de 769, l’Empire leva son blocus, mais à l’heure actuelle, les négoces sont encore très timides et effarouchées.

Magie et occultisme

La magie arcanique est un savoir hautement prisé et encensé dans le Duché. La Grande sagesse de l’Aurélius, l’archimage Florence Dubrouillard, dirige d’ailleurs la prestigieuse Université d’Héodim, qui accueille un grand nombre d’aspirants mages, et la comtesse et le comte d’Ardast ont fondé il y a près de deux décennies une université aujourd’hui resplendissante et rayonnante qui est vite devenue un joyau du royaume. Finalement, la ville d’Andrave, lieu par excellence de l’élite arcanique, attire toujours l’attention par les mystères dont elle entoure ses études poussées.

Militaire

Tout noble baron/baronne de l’Aurélius se doit d’assurer la défense de ses dépendants et de ses terres. Ainsi, il organise la levée de troupes, leur entraînement et s’attache de vaillants mages et chevaliers à sa mesnie. C’est son droit de ban. Chaque baron est donc le commandant de sa propre troupe et il est de son devoir de les mener à la victoire. Les armées des marquis aurélois sont donc constituées de ces troupes seigneuriales. Alors que les barons fournissent chevaliers et mages, chaque bonne ville doit également fournir des troupes à son seigneur. Celles-ci sont surtout constituées d’archers, arbalétriers, piquiers et de clercs (notamment en provenance du très saint bourg de Vertalia). Quant aux fertiles campagnes auréloises, ses habitants fournissent le reste de la soldatesque, coutiliers et fantassins légers. La plupart des armées peuvent être mobilisées assez rapidement par les marquis, qui sont ceux qui ont d’abord et avant tout le prérogative de la guerre.

Les courageux combattants aurélois sont sous l’ultime commandement de le Reine, qui peut lever l’Ost royal. C’est à ce moment que les barons, sous le commandement de leurs marquis, mènent leurs chevaliers, archers et piétaille à la guerre contre les viles forces chaotiques ou hérétiques.

Religion et dogmes

Contrairement aux autres seigneuries, le Duché d'Aurélius est très tolérant envers toutes les divinités hormis Galléon, encore considéré comme un envahisseur étranger. Le culte principal est celui d’Usire, mais les autres dieux ne sont pas considérés comme inférieurs. Le culte d'Usire diffère donc grandement de celui de l'Empire et c'est l'ordre de saint Guelthier qui domine.

Des lieux de culte de la plupart des divinités se retrouvent un peu partout à travers le royaume. Il y a deux exceptions notables. Les lieux de culte de Galléon sont interdits. Les Galléonites en eux-mêmes ne sont pas chassés à proprement parler, mais ils sont très mal vus. Ensuite, le culte de Gaïa est très peu représenté dans les territoires très urbanisés de l’Aurélius. Il ne se retrouve pratiquement qu’à Héodim, sous l’égide de la duchesse douairière Heikki, et à Ardast, au sein de l’université.

Les Sybilles sont à l’honneur à chaque année pendant la foire des Sybilles qui se tient à Hautlangeois, bien que ce ne soit pas un culte bénéficiant d’un énorme rayonnement dans le royaume. Le culte d’Ayka est assez présent, surtout chez les seigneurs guerriers, et on dit que la Reine a un immense respect pour cette déesse, malgré sa foi aédonite. Quant à Golgoth, il bénéficie d’un culte non négligeable, qui est cependant concentré à la Cathédrale de Golgoth. Sylva est une déesse très respectée partout dans le royaume, en raison de la place importante qui est donnée à la magie arcanique et à l’érudition dans les divers lieux de savoir de l’Aurélius. Finalement, Mak’Udar est très présent à Dum’Badar, où vit un peuple de nains, mais il est aussi invoqué un peu partout, puisque les Aurélois accordent beaucoup d’importance à leur travail et aux fruits qu’ils en tirent.

Villes et villages importants

Étant donné la prospérité du Royaume, sa population est fortement urbanisée et compte de nombreuses villes d'importance. Le Royaume d’Aurélius est divisé en trois duchés, eux-mêmes divisés en quelques comtés. Chaque comté contient un nombre variable de baronnies. À moins d’avis contraire, les lieux importants et les villes ne sont pas forcément sous le contrôle d’un baron et sont administrées par les comtes et les comtesses, qui peuvent décider à tout moment d’octroyer cette charge à un baron ou une baronne.

Voir Les Comtés bélénois.

Institutions importantes

À venir.

Les grands évènements

À venir.